Matías Beccar Varela participe avec un exposé et un papier aux Journées d’histoire et critique de l’architecture de l’Université Torcuato Di Tella, à Buenos Aires. La présentation fait partie d’une série qui inclue celles d’intervenants tels que Jorge Francisco Liernur et Claudia Schmidt.
Extrait du résumé :
» Ce travail explore une série de dispositions technologiques et de configurations formelles très spécifiques du travail de Glenn Murcutt qui, présentées dans leur imbrication au coeur des aspects les plus significatifs de chaque projet, cherchent à décanter le type de filiation entre la nature et l’architecture qui les nourrit. Cette filiation semble offrir tous les attributs d’une recherche scientifique, ou du moins être circonscrite à un espace de rationalité, de causes et de fins, de fonctions.
La modernité, comme le souligne Murcutt lui-même, n’est peut-être pas terminée, et ses voies de pèlerinage vers l’objectivité technique pourraient légitimement se tourner vers une forme d’élucidation – à travers le projet architectural – des phénomènes environnementaux.
C’est ce champ d’intérêt particulier que, dans sa pertinence et sa sophistication contemporaines, nous lisons comme un moment germinal dans l’œuvre de Glenn Murcutt et qui, à partir de lui, nous permet d’imaginer des territoires fertiles d’exploration non seulement pour le volet technologique mais aussi dans le champ plus général du projet ».